Un regard qui se pose sur l'oeuvre qui s'élève à la force des bras, entre acier des outils et fibres de l'arbre - si fragiles lorsqu'elles sont détachées mais si puissantes lorsqu'elles restent assemblées au coeur de la poutre - et qui voit ce qu'il y a au delà du travail.
Un mot juste.
Un peu d'onguent sur les mains déchirées.
Un verre offert.
Une main d'enfant qui se tend pour aller un peu plus loin.
Il y a des sourires.
Il faut parfois déchirer les nuits profondes pour les voir.
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